L'histoire de mon réveil créatif

Comment une simple méditation peut révéler la créativité de l’âme !

L’aventure débute lorsque je rencontre pour la première fois Jean-Baptiste Le Cocq en avril 2014, à son cabinet à Bruxelles pour une lecture d’âme.

Après la séance, comme je me suis présenté à lui en tant que graphiste, (activité que j’exerce alors depuis six ans), il me demande si je serais d’accord de créer un flyer qui présenterait leurs activités, à Anaïs Theyskens et lui-même. (Anaïs et Jean-Baptiste font des soins énergétiques et co-animent des ateliers d’éveil spirituel, entre autre, et vivent aujourd’hui un fabuleux voyage autour du monde. Je vous invite à découvrir leur site www.pravaha.be).

J’accepte… sans savoir que je signe pour un fabuleux grand voyage.

Quelques semaines plus tard, Jean-Baptiste me demande si je veux bien faire une « connexion » (méditation) avec lui afin de faire avancer le projet du flyer.
Une « connexion », tiens, qu’est-ce que c’est ? Curieuse et enthousiaste de cette proposition inédite, je lui dis ok.
Il m’indique simplement une formule à énoncer pour me connecter à sa source (ou son âme, c’est selon), et partir en voyage. La méditation va durer 20 min, à distance, je mets le réveil.

Je suis surprise. Pour une première expérience de « connexion », je vois pleins d’images, assez précises ! Je croyais que j’allais m’endormir, ou ne rien voir, mais pas du tout ! Je ressens pleins de choses. Je vois Jean-Baptiste, il me présente Anaïs que je ne connais alors pas encore. Je vois qu’à eux deux, ils diffusent beaucoup de lumière sur la planète grâce à leurs activités ; et je vois aussi que je pourrais faire des flyers qui soient à leur image : des « cadeaux » pour le monde. De beaux visuels, avec beaucoup de couleurs, qui feraient plaisir à voir, qui feraient du bien aux yeux et au cœur, et que les gens pourraient garder chez eux.

Après cette belle expérience, quelques soirs plus tard, je me met à étaler de l’encre colorée sur sur du papier canson, sans trop réfléchir. J’en fait une dizaine, comme ça, de façon intuitive. Je ne sais pas du tout ce que ça vaut, ni si cela leur plaira pour leur flyer, ni même s’ils accepteront la démarche. En plus, c’est quasiment la première fois que je fais ça, des peintures abstraites à l’encre.

Durant le week-end qui suit, animée par cet élan créatif, je refais d’autres peintures, sur plus grand format cette fois et en variant les supports. Je me sens prise d’une frénésie créative, dans un état d’excitation tel que je me rappelle m’être couchée très très tard et avoir eu beaucoup de mal à m’endormir !